Quelle envie, j’ai de ta chatte.. De la lécher d’abord
et de te faire jouir comme ça, sur mes joues, mon
menton.. Recueillir tes sucs, ton miel, ta rosée dans
mon éternelle barbe de trois jours. Et t’embrasser
follement après ça.. Que tu connaisses ton propre
goût, le goût de ton sexe merveilleux par ma propre
bouche.. Tu feras pareil dans un moment. Quand
tu seras lasse de tes saveurs sur ma langue, tu me
suceras longtemps. Je caresse tes cheveux, puis au
mépris de la résistance de mes vieilles vertèbres, je
me plie, je me penche assez pour suçoter tes boucles,
tes mèches, blondes, chataines et grises. Ton crâne..
Je rêve que tu es rasée..
Rasée de partout. Que j’accède à la vérité pure de ta
peau.. Tu cesses de me sucer, ma Belle et tu m’offres
à ton tour mon propre goût, mêlé à celui de ta salive,
de ton haleine, de cette pipe que tu viens de me faire
sans que je jouisse, parce que ce soir, ce matin, cet
après midi, c’est pas dans ta bouche que je veux
venir.. C’est dans ta chatte. J’ai bien envie de ton cul
aussi. Lubrifier ton anus, l’ouvrir, le dilater, le pénétrer
enfin, tandis que je te branle, mon Amour, et tu
jouis des deux côtés. Plus tard, plus tard.. Une autre
fois. Aujourd’hui, il faut que je décharge dans ta
chatte.. Le jour est le bon. Tu ne prends plus la pilule
amère. On a décidé de jouer avec le feu. Tu sais que
faire l’amour en risquant ce que nous risquons est
effroyablement excitant..
Tes tétons sont durs sous ma langue et sous mes
doigts et sous ma bite qui s’y frotte.. Ta bouche est
douce. Tes pieds magnifiques me branlent, me caressent
un peu partout. Pour les remercier, je les léche,
je les masse, méthodiquement. Pour te remercier, je
te demande de tout me demander. Quelle que soit la
folie qui te passe par la tête, par le sexe, le cœur, le
cul.. Je t’aime. Tue- moi en jouissant si ça te fait jouir
plus fort.
Tu m’as imposé ta loi. Tu as joué avec moi, joui
avec moi. Tu viens enfin. Tu frottes ton clitoris sur
ma queue. Tu fais semblant. Le plaisir dure. Tu le
fais durer, durcir.. Je te pénètre un peu. Tu te dégages
en riant. Tu reviens. Mon gland est dans ta chatte.
Tu joues avec. Oui ? Non ? Chacune de tes chevilles
serrées dans chacune de mes mains, j’ai patienté..
Maintenant, mes mains saisissent tes hanches et
tu sais ce que ça veut dire. D’un mouvement, je te
prends. Je peux même te prendre d’un coup, te saillir
à fond. Tu laisses faire. Tu me laisses reprendre le
pouvoir. Tu me dis que tu te soumets. Tes bras levés
au dessus de ta tête, tes aisselles en sueur, tes reins
cambrés, tes seins dressés, ta chatte m’engloutit. Tu
es belle quand tu jouis. Quand tu dis Je jouis de toi.
Quelle chance, quel cadeau tu me fais.. De jouir de
moi. Poussinette jouit du JP de 13 ans qui jouit à
40 ans de sa Marquise, de sa Fiancée, de sa Belle,
d’Agnès, d’Agnès.. Tout se mélange. Le temps,
l’espace, en volutes, s’enroulent autour de ton ventre
de rose trémiere, ton ventre d’arc en ciel d’hiver,
de mer d’huile en été, de fruits d’automne, de soie
et de satin, de fleurs d’amandiers dans le printemps
de La Garde. Comme je voudrais mourir. Comme
je voudrais vivre. Comme je voudrais être éternel.
Jouir éternellement de toi, mon Amour.. Et un autre,
une autre après moi. Pas un rival. Un ami. Une amie.
Notre fils, notre fille. Tombés en vie un printemps
d’amandiers à La Garde, tandis que je m’obscurcissais,
le zombie qui rêvait le rêve de mon fantôme
dans le processeur de l’u.c géante, soudain réveillé
par un bug. Je tombe dans le vide. J’ai eu le temps,
pendant la chute, de mélanger nos couleurs.. De te
laisser la meilleure part de moi. Tu en feras ce que tu
veux. Quelqu’un de bien. Quelqu’un qui aime. J’ai
confiance. Je tombe, et dans la spirale de souvenirs
et de parfums, tes yeux, ta chatte, le chèvrefeuille, le
Château, un chapeau de chez Queneau dont le galon
est un foulard vieux rose que je t’avais offert, un ciel
vanille, ton cul ouvert, des bribes, des lambeaux : Tal
vez en otras vidas. Tal vez en otras muertes. Ch’est
bon, cha. Bonsoir, monsieur. Si me das alegria estoy
mejor. Le douanier de Bogotà. Per u cantu di e cime
nantu a tramuntana. Ton sourire que j’ai failli faner.
Tes filles, qui auraient tant du, excuse-moi, être les
miennes. Bien sûr, puisque tu es mon Amour de
toujours.. Nice vue d’avion. Sancy. Ton eau chaude
du soir. Une petite menthe ? Je parle toutes les langues.
Je sais tous les savoirs. Nadie sabe de mi. Soy
parte de todos. Sumaya. Ses beaux yeux verts et sa
tristesse. Sumaya qui aurait du- qu’Elise m’ excuse,
être notre fille. Puisque tu es mon Amour de jamais..
Pourquoi j’ai si mal fait en voulant tellement bien
faire ? Bus station love affair. I’m gonna be somebody
someday. Ian Hunter/Fito Paez. Ta voix. Que
cherches-tu à me dire ? Le Coudon et sa grosse tête
de coing dans les nuages. Je tombe sans doute de lui.
Je ne peux tomber que de lui. Ta voix, encore.. Parle
moi. Quoi ? Cette bouteille de vodka que j’ai pas eu
le temps de finir. Merde.. Mon vieux ficus.. Agnès.
Des boucles. Des yeux verts. Agnès. La jalousie aux
Yeux verts. Agnès. L’amour aux yeux verts. Agnès.
Dans la nano seconde qui précède le choc, je suis
tout, je sais tout, je suis en paix. J’ai confiance. Tu
as joui. Tu es enceinte. Tu fais de la vie. Un cri au
fond du couloir de la maternité. Un garçon, une fille
? Nous, enfin. Ta voix :
Abre los ojos.
Commentaires :
Re: Re: Re: Ahah
Re: Re: Ahah
Re: Ahah
Bonjour a toi..
J'ai lu ton texte, et j'avou que je suis a la fois choqué et troublé...
Je trouve que la vulgarité des mots, enfin, l'intensité des mots, qui sont parlé, gache un peu tout ce texte..
Mais, je trouve aussi, que tu formule certaine phrases, certains mots, certaines façon d'agir des personnages qui sont remarquable et trés vrai a mon gout.
J'adore comme tu décris certain passage ou comment tu fais penser les personnages... voila, je voulais te complimenter car j'ai réellement aimé..
Dommage, je me repete, mais oui, les mots sont un peu cru..
Re: Re: Ahah
Re: Re: Ahah
que ton texte es coulant d'aisance, je le bois comme vous buvez votre bonheur, votre jouissance puissante totale humaine de personnes qui s'aiment, que je vous ai volé.
Re: Re: Ahah
que ton texte es coulant d'aisance, je le bois comme vous buvez votre bonheur, votre jouissance puissante totale humaine de personnes qui s'aiment, que j'aimerai pouvoir vous voler.
Re: Re: Re: Ahah
Additif_pour_bizondore
Re: Re: Ahah
Open your eyes
En tout cas bravo pour ce merveilleux texte.
Re: Open your eyes
Je l'avais oublié, ce blog.. Merci de me rappeller que j'avais écrit cette chose.. J'en ai semé sur toutes les galaxies, des Agnès et moi.. Une histoire d'amour folle et exemplaire.. Rien n'est cru ni choquant.. La vérité des corps vaut bien celle des âmes, et le vocabulaire existe pour être utilisé, n'en déplaise au trou du cul qui s'est permis un commentaire désolant et anorexique sans oser signer du Z, qui veut dire Zéro..
Bises à toi..
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christophe
Ahah